Cette question m’intéresse et me concerne au plus haut point, parce que je suis un peu spécialiste en la matière ! 😎
Oui, mais l’autre versant, c’est aussi que je suis persévérante, c’est pour cela que je ne laisse jamais vraiment tomber, ça dure un moment et je reviens dessus, un peu… beaucoup têtue pour montrer qui est le plus fort !!
Par contre, ce qui serait vraiment intéressant, c’est d’avoir une technique ou une méthode pour enrayer le truc direct dès le début. 😈
Un peu comme ça :
Ou comme ça :
Ouais, ça c’est mieux.
Donc, genre :
« j’en ai marre, j’arrête tout, mais je sors ma super astuce du Grand V »
et zou, c’est reparti pour un tour et tout de suite de façon à ne pas perdre des jours, des semaines, des mois à s’enliser dans un tracas qui peu tourner en déprime puis dépression.
Non, nous, ce qu’on veut c’est un coup de baguette magique qui nous réveille instantanément.
Face à nos objectifs, quelqu’ils soient, on arrive tous à un moment donné à un obstacle, une difficulté, qui fait qu’on n’avance plus vers ce que l’on veut. C’est là que se trouve le piège.
Cela dit, si le chemin vers vos objectifs étaient en ligne droite, non seulement ça se saurait, mais surtout ce serait trop facile et vous n’en tireriez aucun mérite.
Ce qui est intéressant dans la progression, ce sont tous les détours que l’on est obligés de faire, tous les imprévus que l’on a à gérer et tous les obstacles que l’on doit contourner. Là on a du mérite.
Ensuite, on peut considérer qu’une entrave dans notre avancée est finalement une bonne chose.
Si si !
Parce qu’on peut la regarder comme un contrôle surprise pour passer au niveau supérieur. Imaginez selon ce que vous préférez, que vous suivez le cursus du succès et que vous devez valider vos acquis en passant cet examen matérialisé par l’obstacle qui se trouve là, devant vous, ou… que vous êtes dans un jeu vidéo et, pour les gamers c’est sans surprise, vous devez passer le niveau.
La vraie question, c’est comment continuer d’avancer quoi qu’il arrive, comment trouver le moyen de progresser malgré ce qui nous tombe dessus.
J’ai remarqué que devant la difficulté la première réaction c’est le désespoir ou le sentiment d’injustice.
1 – « Oh bah non ! Pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ? » « Comme si j’avais besoin de ça… » « Comment je vais faire ? »
Puis viens la colère.
2 – « Ca commence à m’énerver » « De toute façon, ça tombe toujours sur moi » « J’en ai marre »
Et là, deux solution :
3.1 – « Fais ch…, j’arrête » « Puisque c’est comme ça, je laisse tomber »
« Ok, c’est bon j’abandonne »
ou
3.2 – « Bon, comment je peux faire ? » « que ce passe-t-il exactement ? »
« Comment faire autrement ? » (là on arrive sur des questions intéressantes)
L’idéal est d’intervenir le plus tôt possible car, comme je le disais, on peut vite se laisser embarquer dans une spirale d’émotions négatives et toxiques, que je rebaptise émotox pour l’occasion (je crois que personne ne m’en voudra, on n’est pas l’Académie Française)
Maintenant le plus important ici, c’est d’être hyper conscient de ce qu’il se passe.
Cette attention hypertrophiée sera votre alliée et ce sera le plus rapide et le plus efficace pour enrayer le phénomène.
Grâce à ça, vous pourrez passer quasi instantanément du point 1 au point 3.2.
Car ce sont en effet ces bonnes questions qui vous permettront de surmonter l’événement et qui vous aideront à progresser, elles vont entraîner votre mental à trouver des solutions et c’est ça la clef.
Bon, ça c’était la méthode la plus facile, je le reconnais.
Souvent, on passe aussi par l’étape 2 et c’est là que ça se gâte !
Face à l’étape 2, à mon avis la première chose à faire c’est se demander si on veut sortir de cet état.
Oui, je sais, ça n’a pas l’air bien malin comme ça, mais faites l’essai et vous verrez qu’au début de la colère ou toute autre émotion négative la réponse sera NON !
Il faut savoir que lorsqu’on est aux prises avec une émotox ou même une émoplus (vous avez compris ? 😃 émotox / émoplus, émotion positive quoi, vous avez compris ? Oui oui, je sais, c’est bon, je sors), on ressent les choses très fortement.
Par ailleurs, notre corps est accros aux émotions fortes, et c’est la raison pour laquelle on cherche à les ressentir et qu’on n’a pas très envie de s’en défaire. Bien sûr c’est problématique avec les émotox.
Mais ce « non » peut être de courte durée et quand vient le OUI, alors c’est qu’on est prêt.
Vous devez toutefois vous laisser le temps de faire retomber la pression de l’émotox. Personnellement, j’avoue que j’aime bien mariner un peu dedans, mais comme elles me nuisent plutôt qu’elles ne me servent, j’essaie de rapidement passer au OUI et ou directement au 3.2.
Et donc là, place aux bonnes questions avec en préambule :
Se souvenir de pourquoi on s’est engagé.
C’est très important de se souvenir du pourquoi parce que c’est lui qui vous a motivé jusque là, et c’est lui qui vous portera pour continuer.
Ensuite, tout aussi important, visualiser vos objectifs atteints et ressentir toutes les émotions positives qui vont avec. Ce sont eux aussi qui vous guideront, ils sont votre fil d’Ariane, ils vous poussent vers l’action.
Et souvenez vous que notre cerveau est attirés par les émotions fortes, faites en sorte que celles liées à vos objectifs agissent comme une sorte de drogue, ça vous poussera à tout faire pour les ressentir.
Et enfin, vous arrivez au 3.2
C’est là que vous passez en mode solutions et que vous retrouvez l’envie d’agir.
Bon, on se résume :
1 – Niveau Champion
1.1 Etre hyper conscient et attentif à nos émotions
1.2 Se poser tout de suite les bonnes questions de type « comment faire autrement ? « , cf. 3.2
2 – Niveau Champion Junior
2.0 Etre hyper conscient et attentif à nos émotions
2.1 Est-ce qu’on veut rester dans cet état ?
2.2 Se souvenir du pourquoi
2.3 Visualiser l’objectif atteint et les émoplus qui l’accompagnent
2.4 Se poser les bonnes questions / 3.2
FELICITATIONS ! Vous venez de passer au niveau supérieur ! 🎮🏆🎓
😊
🍌🏋🏻♀️
Barbouille Bafouille 
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